Aquaculture : à l’occasion de l’atelier national sur l’aquaculture continentale le 13 juillet, le Dr L’Hafi Haut Commissaire aux Eaux et Forêts et à la Lutte Contre la Désertification explique les potentialités écologiques, économiques et sociales de cette filière.
L’aquaculture dans le monde:
L’aquaculture est le terme générique qui désigne la culture ou l’élevage d’organismes aquatiques (poissons, algues, crustacés, mollusques…). Lorsque a’aquaculture se pratique en bord de mer ou en pleine mer, on parle de « cultures marines » ou de mariculture). L’aquaculture est à l’eau ce que l’agriculture est à la terre. Elle se divise en plusieurs groupes dont les principaux sont :
La pisciculture (élevage de poissons) dont la salmoniculture est la plus connue (truites, saumons) productions de poissons.
La conchyliculture (élevage de coquillages) qui comprend l’ostréiculture (huîtres) la mytiliculture (moules)
L’élevage de crustacés notamment les crevettes (crevetticulture) et les écrevisses (astaciculture),
La culture d’algues (algoculture).
Capturer une tonne de poisson coûte de plus en plus cher. Il faut des navires de plus en plus performants, capables de longs déplacement, fortement équipés…l’effort de pêche va en s’intensifiant… Les stocks naturels sont soit surexploités dangereusement, soit en diminution.
Dans le même temps, la croissance démographique mondiale est telle, que l’on sait que la pêche sans possibilité de progression ne suffit plus à satisfaire la demande en produits halieutiques. L’aquaculture et la pisciculture constituent une réponse à cette demande croissante .
L’Aquaculture s’impose donc comme une solution inévitable pour l’avenir. Un parallèle peut être dressé avec la cueillette et la chasse qui ont abouti en plusieurs milliers d’années à l’agriculture.
L’aquaculture est donc une activité encore jeune qui se développe et se développera de plus en plus rapidement, parallèlement à l’évolution de la demande de poisson en fonction du nombre de consommateurs, de leurs habitudes de consommation, de leur revenu disponible et du prix du poisson.
Selon la FAO, la part de l’aquaculture devra impérativement croître au cours des prochaines décennies pour faire face à l’évolution démographique.
2011 aura constituée une année révolutionnaire dans l’histoire de l’humanité: pour la première fois on a consommé sur la planète plus de poissons d’élevage que de poissons sauvages !
Source : www.sypagua.com
L’aquaculture est le terme générique qui désigne la culture ou l’élevage d’organismes aquatiques (poissons, algues, crustacés, mollusques…). Lorsque a’aquaculture se pratique en bord de mer ou en pleine mer, on parle de « cultures marines » ou de mariculture). L’aquaculture est à l’eau ce que l’agriculture est à la terre. Elle se divise en plusieurs groupes dont les principaux sont :
La pisciculture (élevage de poissons) dont la salmoniculture est la plus connue (truites, saumons) productions de poissons.
La conchyliculture (élevage de coquillages) qui comprend l’ostréiculture (huîtres) la mytiliculture (moules)
L’élevage de crustacés notamment les crevettes (crevetticulture) et les écrevisses (astaciculture),
La culture d’algues (algoculture).
Capturer une tonne de poisson coûte de plus en plus cher. Il faut des navires de plus en plus performants, capables de longs déplacement, fortement équipés…l’effort de pêche va en s’intensifiant… Les stocks naturels sont soit surexploités dangereusement, soit en diminution.
Dans le même temps, la croissance démographique mondiale est telle, que l’on sait que la pêche sans possibilité de progression ne suffit plus à satisfaire la demande en produits halieutiques. L’aquaculture et la pisciculture constituent une réponse à cette demande croissante .
L’Aquaculture s’impose donc comme une solution inévitable pour l’avenir. Un parallèle peut être dressé avec la cueillette et la chasse qui ont abouti en plusieurs milliers d’années à l’agriculture.
L’aquaculture est donc une activité encore jeune qui se développe et se développera de plus en plus rapidement, parallèlement à l’évolution de la demande de poisson en fonction du nombre de consommateurs, de leurs habitudes de consommation, de leur revenu disponible et du prix du poisson.
Selon la FAO, la part de l’aquaculture devra impérativement croître au cours des prochaines décennies pour faire face à l’évolution démographique.
2011 aura constituée une année révolutionnaire dans l’histoire de l’humanité: pour la première fois on a consommé sur la planète plus de poissons d’élevage que de poissons sauvages !
80% des potentialités sont détenues par les ressources naturelles (Palourde, Civelle, mulet…qlq Aloses !!) un don de Dieu dont les stockes ne sont pas estimés pour pouvoir mieux gérer rationnellement l'amodiation du droit d'exploitation , en dehors de ça qu'est ce qui reste ? Presque rien qui mérite d'être mentionné. Projet pilote à Bin O uidane ? Ou comme celui de la Tilapia ou quoi encore ? La truite, le bar etc…ce sont des productions du Domaine qui constituent un cas très particulier.
Il est eu peu prématuré de ranger notre aquaculture continentale à ce niveau. Ce texte parait un peu plus fort que l'état actuel de l'aquaculture au Maroc même jusqu'à cette 2024, d'autant mieux vaut dire autre chose que de parler aquaculture dans l'état actuel de s choses…Notre politique en matière de pêche et d'aquaculture doit être remaniée de fond en comble. Nous sommes encore loin de certains pays pauvres dans ce domaine tel que l'Egypte. Les dégâts perpétrés sur les espèces nobles qui se reproduisent naturellement dans nos barrages et qui permettent socio-économiquement à un grand nombre de familles (parfois plus de 40 familles nombreuses/barrage) de vivre de la pêche artisanale (petite pêche commerciale), seront décimées par le Bleu-gill (perche soleil) et le Tilapia développées par le HCEFLCD et transférées au privé sans concertation entre scientifiques et introduit dans nos milieux aquatiques clandestinement. Ce sont des espèces nuisibles qui ne devaient être introduites sous aucun prétexte. Cela casse l'élan de la production….Je m'excuse, à mon humble avis, il faut tout d'abord retrousser les manches un bon nombre d'années, en commençant par la rectification des erreurs du passé.
Le texte dans la bulle info, est là uniquement pour expliquer l'aquaculture à l’échelle mondiale.
Il est trop tôt pour chanter victoire. Ce texte n'a aucune relation avec l'état actuel de l'aquaculture au Maroc même jusqu'à cette 2024, d'autant mieux vaut dire autre chose que de parler aquaculture chez nous…Notre politique en matière de pêche et d'aquaculture doit être remaniée de fond en comble. Nous sommes encore loin de certains pays pauvres dans ce domaine tel que l'Egypte. Je me rappel, et cela fait environ 25 ans, qu'un prof de l'Univers Paul Sabatier (mr Labate) en visite chez nous, nous a appris que sa fille à elle seule produisait plus du double de ce que nous produisons à l'époque. Les dégâts perpétrés sur les espèces autochtones qui se reproduisent naturellement dans nos barrages et qui permettent socio-économiquement (en colabo avec l'Econom. Dr F.Benchakroun) à un grand nombre de familles (parfois plus de 40 familles nombreuses/barrage) de vivre de la pêche artisanale (petite pêche commerciale), seront décimées par le Bleu-gill (perche soleil) et le Tilapia développées par le HCEFLCD et transférées au privé sans concertation entre scientifiques et introduit dans nos milieux aquatiques clandestinement. Ce sont des espèces nuisibles qui ne devaient être introduites sous aucun prétexte….Je m'excuse, à mon humble avis il est trop tôt de parler maintenant de ça, il faut tout d'abord retrousser les manches un bon nombre d'années, en commençant par la rectification des erreurs du passé.
Le Maroc, 17ème producteur mondial de poisson : Pourquoi alors les prix flambent-ils sur nos étales http://www.maghress.com/fr/lopinion/52334
Il est eu peu prématuré de ranger notre aquaculture continentale à ce niveau. Ce texte parait un peu plus fort que l'état actuel de l'aquaculture au Maroc même jusqu'à cette 2024, d'autant mieux vaut dire autre chose que de parler aquaculture dans l'état actuel de s choses…Notre politique en matière de pêche et d'aquaculture doit être remaniée de fond en comble. Nous sommes encore loin de certains pays pauvres dans ce domaine tel que l'Egypte. Les dégâts perpétrés sur les espèces nobles qui se reproduisent naturellement dans nos barrages et qui permettent socio-économiquement à un grand nombre de familles (parfois plus de 40 familles nombreuses/barrage) de vivre de la pêche artisanale (petite pêche commerciale), seront décimées par le Bleu-gill (perche soleil) et le Tilapia développées par le HCEFLCD et transférées au privé sans concertation entre scientifiques et introduit dans nos milieux aquatiques clandestinement. Ce sont des espèces nuisibles qui ne devaient être introduites sous aucun prétexteCela casse l'élan de la production….Je m'excuse, à mon humble avis, il faut tout d'abord retrousser les manches un bon nombre d'années, en commençant par la rectification des erreurs du passé.